Les main glissent sur le soi. Le regard oscille entre la fenêtre du message et le vide de l’écran. L’air est pleutre, à match invariable. Une tension impénétrable dans la nuque. Rien d’urgent, mais une charge que le calme ne dissout pas. Le cœur bat normalement, mais avec une présence https://garrettjibrf.bleepblogs.com/36528306/voyance-par-mail-un-format-structuré-posé-ajusté