Sous la vaste arrondie translucide du dôme martien, les journées s’écoulaient avec une lenteur oppressante. Alia ressentait le poids florissant des projections silencieuses sur les parois. Elles étaient désormais permanentes, doucement mouvantes, comme une vapeur dense qui refusait de s'éclipser. Ces dessins, nées des regrets cachés et non formulés, devenaient https://dominickfavoh.bloggerchest.com/34213735/le-dôme-des-nostalgie