Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rond au milieu de son ateliers. Elle y jetait les fragments de cuivre en calme, donnant les tentations danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rituel. C’était une inspiration lente, une tradition née d’un geste traditionnel répété incessamment. Les morceaux, https://voyance-gratuite-en-ligne33196.blogzag.com/77897411/les-silhouette-qui-persistent