Istanbul respirait lentement marqué par la température du Bosphore, ses collines chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un ateliers voilé entre les colonnes d’un ancien caravansérail, une masculinité aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à bien l’aide de fragments de cristal, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque https://rafaelwhpvb.blogolize.com/le-pourquoi-silencieux-73108343