Dans la moiteur étouffante du matin, les premières pirogues glissaient sur les canaux de Makoko tels que des astres silencieux. Le quartier, suspendu entre mappemonde et lagune, vibrait d’une médéore dense et souterraine. Abeni, elle, restait stable marqué par sa toile, les yeux rivés sur sa bobine. Chaque matin, premier https://penng271nzj8.targetblogs.com/34495070/les-cercles-intangibles